Depuis son entrée en fonction, le président Macky Sall du Sénégal a fait du remplacement du parc de véhicules de transport public du pays l’une de ses principales priorités. Par ailleurs, cette importante initiative présidentielle s’inscrit dans le cadre du Pamu (Programme d’Amélioration de la Mobilité Urbaine). Ainsi, le gouvernement de la République du Sénégal s’attaque actuellement à une autre difficulté importante suite à l’achèvement du “Dakar Dem Dikk” et aux mesures prises sur les minibus et poids lourds Tata. Cette proposition, appelée “un conducteur, un véhicule”, vise à modifier fondamentalement l’industrie du transport. Cette nouvelle technologie changera non seulement la façon dont les chauffeurs de taxi opèrent, mais changera également la façon dont ils pratiquent leur métier. L’opération “taxis émergents” n’est rien d’autre que le fruit d’un partenariat 3P (Partenariat Public Privé) multipartite qui comprend, entre autres, le Regroupement des Transports Modernes du Sénégal (Retramos) du “Mouvement Car Naatangué”, Nsia Assurances , Fongip, Cfao Sénégal et Boa. Ainsi, le lancement de cette phase pilote, qui a débuté en septembre 2017, a eu l’honneur d’avoir lieu à Dakar, la capitale nationale. Le reste de la nation, en particulier les régions métropolitaines, finira par en faire l’expérience.
Entrepreneurs responsables
Par l’intermédiaire du Fongip, le président du Sénégal, Macky Sall, a accordé une garantie pour les investissements d’aide aux chauffeurs de taxi vers la fin octobre 2017. Selon le ministre conseiller du président de la République Abdou Mboup, l’assurance pour la banque partenaire Boa Dakar va démarrer le phase test du programme 1 000 véhicules lors de la réunion de distribution des nouveaux taxis des transporteurs sénégalais. Par conséquent, l’AIDB aura d’abord accès à 100 automobiles (aéroport international Blaise Diagne). L’objectif est de relever le défi du président de « créer une organisation digne d’un aéroport contemporain avec l’appui de chauffeurs de taxi plus que responsables et prêts à s’adapter à un nouvel esprit entrepreneurial dès le 7 décembre 2017 », a souligné le conseiller du ministère.
Ce dernier est pour vous rappeler que ces nouveaux véhicules de transport sont également couplés à l’autonomie complète de leurs futurs propriétaires dans le cadre d’une rémunération très modique. Au cas où vous vous poseriez la question, l’administrateur du Fongip, Doudou Kâ, a calculé que les frais de transfert des voitures de marque Fiat et Toyota que les chauffeurs ont personnellement choisies oscilleront entre 7,3 millions et 9,3 millions de Cfa. Ce dernier est pour vous rappeler que ces nouveaux véhicules de transport sont également couplés à l’autonomie complète de leurs futurs propriétaires dans le cadre d’une rémunération très modique. Selon l’administrateur du Fongip, Doudou Kâ, les frais de transfert des voitures de marque Fiat et Toyota sélectionnées par les conducteurs eux-mêmes devraient osciller entre 7,3 millions et 9,3 millions de Cfa. Ce dernier est pour vous rappeler que ces nouveaux véhicules de transport s’accompagnent également d’une autonomie complète pour leurs futurs propriétaires dans le cadre d’une rémunération relativement faible. Selon l’administrateur du Fongip, Doudou Kâ, les frais de transfert des voitures de marque Fiat et Toyota sélectionnées par les conducteurs eux-mêmes devraient osciller entre 7,3 millions et 9,3 millions de Cfa.